Victoire !
Allelluia ! Ca y est, ce coup-ci, je les tiens ! Grâce à ce magnifique ustensile
j'ai enfin élucidé le mystère qui me mettait dans un état de perplexitude intense. Autrement dit,
Le mystère du ratage systématique des macarons.
Mais
le brouillard épais qui m'entourait s'est volatilisé d'un seul coup à
la première utilisation de ce superbe thermomètre à four, qui m'a fait
la révélation suivante : mon four ne descend à 150°C qu'à la condition
de rester sur le thermostat 1, et en plus de garder la porte
entrouverte.
Et voilà, c'est tout simple, mon cauchemar est
terminé, envolé. Fini l'arrachage de cheveux, révolu le temps des
questions sans réponses : J'ai été trop violente avec les oeufs ?
J'ai cuit les macarons trop longtemps ? Pas assez longtemps? C'est à
cause de ma poudre d'amande ? A cause du colorant ? STOP !!! Arrêtons
de nous torturer. Il suffisait de connaître la température du four.
Vous n'imaginez pas comme ma vie est transformée ! Quoi ? J'exagère ?
Si peu... C'est que j'aime pas rester comme ça sur des échecs, même
successifs et nombreux.
Bon allez, admirons le résultat et pour la recette, c'est chez Marina qu'il faut aller. Mais je vous aurai prévenus : si vous mettez un clic sur son site, la macaron-mania n'est plus très loin....
Ca faisait tellement longtemps que je n'en avais pas réussi que j'en avais oublié à quel point c'est méga trop bon de la mort !
Et
en bonus, l'autre ustensile trop super chouette que je me suis offert,
et grâce auquel je frime dans ma cuisine, c'est le
Dabeul-minuteur-horloge. Est-ce qu'il est pas chou ? Il peut minuter
deux cuissons en même temps, me donner l'heure, il fait chronomètre, et
il est aimanté ! Que demande le peuple ?